Parution mensuelle

No 723

AVRIL 2024

OLÉ ! A

COUP DE CRAYON D'OLÉ !

OLÉ ! A LU

RAPPORT PLANÈTE VIVANTE
ONG WWF
Point sur l’état alarmant de notre environnement.

Quelques extraits :
“Que la biodiversité poursuive sa chute, et le monde naturel que nous connaissons aujourd’hui s’effondrera d’un seul tenant. Nous dépendons totalement de la nature pour l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les aliments et les matériaux que nous utilisons et l’économie que nous faisons fonctionner...
Le 8 août 2016, l’humanité avait déjà consommé l’ensemble des ressources que la planète ne peut renouveler en une année. Nous ne pouvons pas couper des arbres
à un rythme supérieur à celui de leur croissance, prélever plus de poissons dans les océans qu’il n’en naît et rejeter davantage de carbone dans l’atmosphère que les forêts et les océans ne peuvent en absorber que pendant une durée limitée. En s’attaquant au capital naturel de la planète, l’humanité se met donc elle-même en danger puisqu’elle dépend de l’état de santé des écosystèmes pour se développer et plus simplement pour survivre... Les innovations technologiques et le recours aux énergies fossiles ont permis de répondre aux multiples demandes d’une population toujours plus nombreuse. De façon générale, les activités humaines et les usages faits des ressources à cette fin se sont tellement développés, surtout depuis le milieu du 20e siècle, que les conditions écologiques ayant favorisé notre développement et notre croissance commencent aujourd’hui à se détériorer... Sur le globe, l’offre en nourriture et en eau dépend en grande partie de la qualité des sols. Or environ 30 % de la surface totale des terres sont déjà fortement dégradés. Cette dégradation tire son origine de mauvaises pratiques de gestion agricole qui, en réduisant la qualité et la fertilité, font baisser la productivité agricole et par là-même les rendements. Par exemple, aujourd’hui, 75 % de la nourriture produite dans le monde l’est à partir de seulement 12 plantes et 5 espèces animales. Enfin, la pratique de la monoculture à grande échelle fait intervenir de grandes quantités d’intrants chimiques impactant directement ou indirectement les espèces et les habitats sauvages...”

Je pratique le tri sélectif, j’évite d’acheter en trop grande quantité, de jeter... Je pense que le quidam que je suis, n’est pas celui qui pollue le plus de façon irrémédiable. Mais ça c’est une autre histoire qui, a priori, concerne plutôt l’aptitude et/ou la volonté de nos gouvernants à prendre les bonnes décisions. Mais, comme déjà dit, ça c’est une autre histoire...

Bref, nous sommes mal barrés. Encore plus nos enfants d’ailleurs.
Bonjour l’héritage.

Line

Rapport complet ou synthèse à télécharger sur wwf.fr

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